CHAPITRE 38- Que le (fidèle) présent transmette la science à celui qui est absent.

Hadith Du Chapitre

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CHAPITRE 38- Que le (fidèle) présent transmette la science à celui qui est absent.

- Ibn 'Abbâs a rapporté ces mots du Prophète .

Hadith Numero 104

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Abû Shurayh rapporte

ce qu'il dit à 'Amr Ibn Said tandis que ce dernier envoyait des troupes vers la Mecque: « Ô Émir, m'autorises-tu à te rapporter des paroles que l'Envoyé de Dieu prononça le lendemain du jour de la prise de la Mecque. Mes oreilles ont entendues ce discours, mon cœur l'a retenu et mes yeux ont vu le Prophète lorsqu'il les prononça. Après avoir loué Dieu et proclamé ses mérites, voici ce qu'il dit: Dieu a rendu la Mecque sacrée car les hommes ne lui avaient point donné ce caractère. Il n'est permis à aucun homme qui croit en Dieu et au Jour dernier de répandre le sang dans son enceinte, ni de saper un de ses arbres. Si quelqu'un le tolérait, parce que l'Envoyé de Dieu a livré combat dans cette ville, dites: « Dieu a donné à Son Envoyé une permission qu'il ne vous a pas concédée. » Au reste Dieu ne m'a accordé cette autorisation que pour une heure dans un seul jour.Aujourd'hui la Mecque a recouvré son caractère sacré qu'elle avait hier.Que celui qui est présent transmette ces paroles à celui qui est absent. »On dit à Abû Shurayh: « Que répondit alors 'Amr (Ibn Saĩd) ? - Il répondit, reprit-il, je sais mieux que toi, ô Abú Shurayh que la Mecque ne sera jamais ni l'asile d'un rebelle, ni le refuge de quiconque a versé le sang, non plus que de l'auteur d'un vol.»

Hadith Numero 105

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D'après Abû Bakra,

comme on rappelait que le Prophète avait dit: « Votre sang et vos richesses », - Muhammad (bn Sirin) dit :« Et Et je crois qu'il Ibn Abi Bakra, s'entend. je Et je crois qu'il Ibn Abi Bakra, s'entend. crois Et je crois qu'il Ibn Abi Bakra, s'entend. qu'il Et je crois qu'il Ibn Abi Bakra, s'entend. a ajouté « et votre honneur » - sont choses sacrées comme ce jour-ci, dans ce mois-ci, n'est-ce pas ? eh ! bien, que le (fidèle) présent d'entre vous en fasse part à l'absent. » Muhammad Ibn Sirin a dit : « L'Envoyé de Dieu a dit vrai, et cela (ne concernait pas le passage: « que le présent d'entre vous en fasse part à l'absent », mais « est-ce que j'ai fait parvenir ? », qu'il avait répété deux deux fois Cf. chapitre 9, titre 3, tome 1, supra. fois deux fois Cf. chapitre 9, titre 3, tome 1, supra. ) .