. - On dit à Imrân Ibn Husayn : « Que pensez-vous de celui qui entend réciter une sourate à prosternation alors qu'il ne participe pas à cet office ? » — Et que diriez-vous alors s'il s'asseyait ( à ce moment ) ? répondit-il . Il semble donc qu'il ne jugeait pas la prosternation obligatoire . - Salmân a dit : « Nous n'étions pas venus pour pour cela cela pour cela . » - 'Uthmân a dit : « La prosternation n'est un devoir que pour celui qui est venu dans le but d'entendre la récitation . » - Az-Zuhrĩ a dit : « Ne vous prosternez pas à moins que vous ne soyez en état de pureté . Si vous vous prosternez alors que vous êtes résidents , tournez-vous du côté de la gibla ; si vous êtes en voyage cela n'est pas obligatoire , restez du côté où votre visage sera tourné . » - As-Sã'ib Ibn Yazid ne se prosternait pas aux passages à prosternation évoqués par les sermonneurs
Abû Bakr Ibn Abî Mulayka rapporte
d'après Rabi'a Ibn 'Abd Alläh Ibn al-Hudayr que 'Umar Ibn al-Khattâb (ﷺ) , un vendredi , récita en chaire la sourate de an-Nahl ( sourate seize ) et , arrivé au moment de la prosternation , il descendit de la chaire : il se prosterna et ainsi firent les fidèles . Le vendredi suivant , il la récita de nouveau , mais , arrivé au moment de la prosternation , il dit : « Ô fidèles , nous allons passer près d'un passage où on se prosterne , celui qui le fera agira bien , mais celui qui ne se prosternera pas n'aura pas commis un péché . » Et 'Umar ne se prosterna pas . Nãfi' ajoute , d'après Ibn 'Umar , que Dieu ne nous a pas prescrit la prosternation ; la fait qui veut .