CHAPITRE 30 - Du mérite de la prière en commun. - Quand il arrivait trop tard pour prendre part à la prière en commun, al-Aswad se rendait dans une autre mosquée. - Anas, venu tardivement dans une mosquée où l'on venait de terminer la prière, fit le premier et le second appel à la prière et recommença la prière en commun.

« La prière en commun est supérieure de vingt-sept degrés à la prière faite isolément. »

« La prière en commun est supérieure de vingt-cinq degrés à la prière faite isolément. »

« La prière qu'un homme fait en commun vaut vingt-cinq fois celle qu'il fait dans sa maison ou au marché. Voici comment : lorsqu'il a fait ses ablutions et qu'il les a faites comme il faut, puis qu'il se rend à la mosquée ne sortant que dans le seul but d'y faire sa prière, il n'est pas un pas qu'il ne fasse sans que celui-ci ne l'élève d'un degré et ne lui efface un péché. Quand ensuite il prie, aussi longtemps qu'il demeure à l'endroit où il a prié, les anges invoquent Dieu pour lui en disant : Ô Mon Dieu, répands sur lui Tes bénédictions et sois-lui miséricordieux! Enfin chacun de vous ne cesse d'être en prière tant qu'il attend l'heure de la prière. »