'Umar - ou , selon d'autres , Ibn 'Amr , - a dit : « Le Prophète croisait ses doigts. »
Asim Ibn Muhammad rapporte
qu'il a entendu ce hadîth de la bouche de son père , mais qu'il ne l'avait pas retenu. « Mon frère Wâgid , dit-il , me le remémora en disant qu'il l'avait entendu de notre père qui le tenait de 'Abd Allâh sous la forme suivante : L'Envoyé de Dieu dit : « Ô 'Abd Allâh Ibn 'Amr , comment ferais-tu si tu te retrouvais au milieu d'une tourbe de gens ainsi (ce disant , il croisait ses doigts). »
D'après Abu Mûsâ ,
le Prophète a dit : « Le croyant par rapport à un autre croyant , est comme les matériaux d'une construction qui se soutiennent les uns les autres. » Et , ce disant , il croisa ses doigts.
D'après Ibn Sirin, Abû Hurayra a dit
« L'Envoyé de Dieu fit avec nous une des deux prières du du soir soir du soir . » - « Et, ajoute Ibn Sirin, il désigna une des deux, mais je ne me souviens plus de laquelle. - Le Prophète accomplit deux cycles de prière avec nous, puis, après avoir fait la salutation finale, il se leva et alla vers une poutre étendue en travers de la mosquée. Il s'appuya sur cette poutre avec toute l'apparence de la colère et, mettant sa main droite sur sa main gauche, il croisa les doigts. Il plaça ensuite sa joue droite sur la paume de sa main gauche.Les gens pressés se rendirent alors vers les portes de la mosquée en disant: La prière a été raccourcie. Parmi les assistants se trouvaient Abû Bakr et 'Umar, mais ils n'osèrent adresser la parole au Prophète.A ce moment, un homme d'entre les fidèles, dont les mains étaient fort longues et qu'à cause de cela on avait surnommé l'homme aux deux mains s'adressa au Prophète en ces termes: Ô Envoyé de Dieu, as-tu oublié quelque chose ou bien as-tu voulu raccourcir la prière? - Je n'ai rien oublié, répondit-il, et n'ai pas voulu raccourcir (la prière). Puis, s'adressant aux fidèles, le Prophète dit: Les choses sont-elles comme vient de le dire l'homme aux deux mains ? - Oui, répliqua-t-on. Alors le Prophète s'avançant acheva ce qu'il avait omis de la prière ; il fit la salutation finale, prononça le takbir, se prosterna comme il le faisait habituellement ou même plus longtemps que d'ordinaire, releva la tête, fit la salutation finale, prononça le takbir, le prononça une seconde fois, se prosterna comme d'habitude ou plus longuement encore, releva la tête et prononça le takbir. »Comme on demandait à Ibn Strin s'il ne fallait pas ajouter : ensuite il fit la salutation finale, celui-ci répondit: « On m'a rapporté que 'Imrân Ibn Husayn aurait dit: « ensuite il fit la salutation finale.»