Abû Said al-Khudri a entendu l'Envoyé de Dieu dire
« Tout serviteurs qui embrasse l'islam et devient bon musulman, Dieu lui pardonnera toutes ses fautes passées. Pour les actions qui suivront, le compte en sera ainsi réglé : chaque bonne œuvre sera affectée d'un coefficient allant de dix à sept cents cents ». La mauvaise action ne sera comptée que pour sa valeur propre et il se peut même que Dieu la laisse complètement de côté. »
Selon Abû Hurayra, l'Envoyé de Dieu a dit
« Tout individu parmi vous qui embrasse l'islam et devient bon musulman, chacune des bonnes actions qu'il fera sera affectée d'un coefficient allant de dix à sept cents et chacune de ses mauvaises actions lui sera comptée pour sa valeur propre. »