CHAPITRE 47 - De l'emploi pour la grande et la petite ablution de bassine, de cruche, de vases en bois et en pierre

Hadith Numero 195

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Humayd rapporte qu'Anas lui a dit

« L'heure de la prière étant venue, ceux dont la maison était proche se rendirent dans leurs leurs familles Pour y faire leurs ablutions. familles leurs familles Pour y faire leurs ablutions. , mais un certain nombre de fidèles restèrent. On apporta à l'Envoyé de Dieu une une bassine Le mikhdab désigne l'auge, le lavoir en pierre ou en poterie où l'on lave le linge et les vêtements. bassine une bassine Le mikhdab désigne l'auge, le lavoir en pierre ou en poterie où l'on lave le linge et les vêtements. en pierre remplie d'eau. La bassine était trop petite pour qu'on pût y étendre la main. Tous les fidèles présents firent cependant leur petite ablution. - Et combien étiez-vous, dimes-nous à Anas ? - Quatre-vingts et même davantage, répondit-il. »

Hadith Numero 196

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D'après Abû Musa,

le Prophète se fit apporter une cruche contenant de l'eau; il lava ses deux mains, son visage avec l'eau de ce vase et y lança de l'eau avec sa bouche.

Hadith Numero 197

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'Abd Allãh Ibn Zayd a dit

« L'Envoyé de Dieu étant venu nous trouver nous lui présentâmes de l'eau dans un bassin (tawr) de cuivre (sufr). Il fit sa petite ablution se lavant le visage trois fois, les deux mains deux fois, passant les mains mouillées sur sa tête d'avant en arrière et d'arrière en avant et se lavant les deux pieds.»

Hadith Numero 198

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'Ã'isha a dit

« Lorsque le Prophète fut affaibli et que son mal eut empiré , il demanda à ses femmes la permission de passer le temps de sa maladie dans mon appartement. La permission lui ayant été donnée , il se rendit chez moi , ses pieds traînant sur le sol , mais soutenu par deux hommes , 'Abbãs et une autre personne. Comme , dit Ubayd Allâh , je racontai cela à 'Abd Allâh Ibn 'Abbãs , il me demanda : Sais-tu qui était cette autre personne ? - Non , répondis-je. - C'était , répliqua-t-il , 'Alf Ibn Abi Talib. »'A'isha racontait encore que le Prophète , après avoir gardé la chambre et avoir été gravement malade , dit : « Versez sur moi l'eau de sept outres dont les cordons n'ont pas été dénoués ; peut-être serai-je à même ensuite de faire des recommandations aux fidèles. » On le fit alors asseoir dans une bassine appartenant à Hafsa une des femmes du Prophète . Puis nous nous mîmes à lui verser de l'eau de ces outres jusqu'à ce qu'il commença à nous faire signe que c'était assez. Il sortit ensuite pour aller au milieu des fidèles.