CHAPITRE 3 - De l'explication des choses d'un caractère douteux .

Hadith Du Chapitre

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Hassân Ibn Abi Sinân a dit

« Je ne vois rien de plus facile que d'être scrupuleux ; tu n'as qu'à laisser de côté ce qui te semble douteux pour ne faire que ce qui ne te paraît nullement douteux . »

Hadith Numero 2052

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'Uqba Ibn al-Harith rapporte

qu'une femme noire vint le trouver et prétendit qu'elle avait été sa nourrice et celle de sa femme . Il alla raconter le fait au Prophète (ﷺ) . Celui-ci se détourna en souriant et dit : comment (tu as encore des rapports avec cette femme) après ce qui a a été dit il faut se rappeler que la loi musulmane interdit le mariage avec une sœur de lait . été a été dit il faut se rappeler que la loi musulmane interdit le mariage avec une sœur de lait . dit a été dit il faut se rappeler que la loi musulmane interdit le mariage avec une sœur de lait . . » 'Uqba était alors marié à la fille d'Abu lhâb at-Tamimi .

Hadith Numero 2053

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On rapporte que 'Ä'isha ( qu'Allâh l'agrée ) a dit

« 'Utba Ibn Abi Waqqâs avait fait à son frère Sa'd Ibn Abî Waqqãs la déclaration testamentaire suivante : Le fils de l'esclave de Zam'a est de moi , prends-le . L'année de la conquête de la Mecque , Sa'd Ibn Abi Waqqâs voulut prendre cet enfant en disant : C'est le fils de mon frère qui m'a recommandé de le prendre . Mais Mais 'Abd Ibn Zam'a Avant l'islam certains Arabes livraient leurs esclaves femmes à la prostitution . L'enfant né de ces prostituées demeurait esclave s'il n'était reconnu comme étant issu de rapports que le maître aurait eus avec son esclave , car dans ce dernier cas il était de condition libre . A la mort du maître ses héritiers avaient tout intérêt à soutenir que les enfants nés de ces prostituées devaient le jour à des étrangers . Quand , de son vivant , le maître n'avait ni désavoué , ni réclamé la paternité de l'enfant , ses héritiers avaient la faculté de reconnaître la paternité de leur hauteur à l'égard de cet enfant , mais cela ne leur était plus permis si le maître avait nié la paternité avant de mourir . Le point douteux dans ce hadith était , en réalité , de savoir si l'enfant était véritablement le fils de 'Utba , ou si les héritiers seuls le déclaraient tel dans le seul but de le rattacher à leur clan .  'Abd Mais 'Abd Ibn Zam'a Avant l'islam certains Arabes livraient leurs esclaves femmes à la prostitution . L'enfant né de ces prostituées demeurait esclave s'il n'était reconnu comme étant issu de rapports que le maître aurait eus avec son esclave , car dans ce dernier cas il était de condition libre . A la mort du maître ses héritiers avaient tout intérêt à soutenir que les enfants nés de ces prostituées devaient le jour à des étrangers . Quand , de son vivant , le maître n'avait ni désavoué , ni réclamé la paternité de l'enfant , ses héritiers avaient la faculté de reconnaître la paternité de leur hauteur à l'égard de cet enfant , mais cela ne leur était plus permis si le maître avait nié la paternité avant de mourir . Le point douteux dans ce hadith était , en réalité , de savoir si l'enfant était véritablement le fils de 'Utba , ou si les héritiers seuls le déclaraient tel dans le seul but de le rattacher à leur clan .  Ibn Mais 'Abd Ibn Zam'a Avant l'islam certains Arabes livraient leurs esclaves femmes à la prostitution . L'enfant né de ces prostituées demeurait esclave s'il n'était reconnu comme étant issu de rapports que le maître aurait eus avec son esclave , car dans ce dernier cas il était de condition libre . A la mort du maître ses héritiers avaient tout intérêt à soutenir que les enfants nés de ces prostituées devaient le jour à des étrangers . Quand , de son vivant , le maître n'avait ni désavoué , ni réclamé la paternité de l'enfant , ses héritiers avaient la faculté de reconnaître la paternité de leur hauteur à l'égard de cet enfant , mais cela ne leur était plus permis si le maître avait nié la paternité avant de mourir . Le point douteux dans ce hadith était , en réalité , de savoir si l'enfant était véritablement le fils de 'Utba , ou si les héritiers seuls le déclaraient tel dans le seul but de le rattacher à leur clan .  Zam'a Mais 'Abd Ibn Zam'a Avant l'islam certains Arabes livraient leurs esclaves femmes à la prostitution . L'enfant né de ces prostituées demeurait esclave s'il n'était reconnu comme étant issu de rapports que le maître aurait eus avec son esclave , car dans ce dernier cas il était de condition libre . A la mort du maître ses héritiers avaient tout intérêt à soutenir que les enfants nés de ces prostituées devaient le jour à des étrangers . Quand , de son vivant , le maître n'avait ni désavoué , ni réclamé la paternité de l'enfant , ses héritiers avaient la faculté de reconnaître la paternité de leur hauteur à l'égard de cet enfant , mais cela ne leur était plus permis si le maître avait nié la paternité avant de mourir . Le point douteux dans ce hadith était , en réalité , de savoir si l'enfant était véritablement le fils de 'Utba , ou si les héritiers seuls le déclaraient tel dans le seul but de le rattacher à leur clan .  protesta en disant : C'est mon frère , le fils de l'esclave de mon père ; il est né de ses œuvres œuvres Litt . : « Il est né sur son lit » . » Les deux contestants ayant porté leur litige devant l'Envoyé de Dieu (ﷺ) , Sad s'exprima en ces termes : O Envoyé de Dieu , c'est le fils de mon frère et mon frère m'a légué le droit de le prendre . - C'est mon frère , répliqua 'Abd Ibn Zam'a ; il est le fils de l'esclave de mon père et il est né de ses œuvres œuvres Litt . : « Il est né sur son lit » . . S'adressant alors à 'Abd Ibn Zam'a , le Prophète (ﷺ) lui dit : Cet enfant est à toi . Puis il ajouta : L'enfant appartient au (maître du) lit ; le fornicateur n'a droit à rien . Ensuite s'adressant à Sawda Bint Zam'a , sa femme , le Prophète (ﷺ) lui dit : Ô Sawda , ne te montre pas à visage découvert devant cet enfant . Il avait en effet remarqué que cet enfant ressemblait à 'Utba . Jusqu'à sa mort , l'enfant ne vit jamais Sawda . »

Hadith Numero 2054

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On rapporte que 'Adi Ibn Hâtim a dit

« Comme j'interrogeais l'Envoyé de Dieu (ﷺ) au sujet de l'emploi (à la chasse) du javelot dit mi'râd mi'râd C'est le nom d'une flèche sans plumes , ou d'un bâton ferré à l'une de ses extrémités . Ces armes étourdissaient l'animal sans provoquer une effusion de sang . , il me répondit : Si , en chasse , tu atteins un animal avec la pointe , mange-le (ainsi tué) ; si tu l'atteins avec le manche et que tu le tues , ne le mange pas car il est alors waqîdh waqîdh C'est-à-dire : « tué à l'aide d'un instrument contondant » sans effusion de sang . . J'ajoutai ensuite : Ô Envoyé de Dieu , j'avais lancé mon chien en prononçant le nom de Dieu ; j'ai trouvé la pièce de gibier tenue à la fois par mon chien et un autre chien sur lequel je n'avais pas prononcé le nom de Dieu et j'ignore quel est celui des deux chiens qui a pris la pièce de gibier ? - Ne mange pas ce gibier , répond le Prophète , puisque tu n'as prononcé le nom de Dieu que sur ton chien sans le prononcer sur l'autre . »