Hadith Numero 216

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Ibn 'Abbãs a dit

« Passant près d'un des jardins enclos de Médine - ou de la Mecque - le Prophète entendit deux hommes que l'on tourmentait dans leur tombeau. - Ces deux hommes, dit-il, sont tourmentés, mais non pour un fait important important Le commentateur explique de deux façons la contradiction apparente de ce passage avec la suite. Ou bien, dit-il, cela signifie que le fait reproché eût été facile à éviter ; ou encore que ce fait, qui leur paraissait peu important, l'était aux yeux de Dieu. . Puis il ajouta : Loin de là ! car l'un d'eux ne se garait point (des taches) de son son urine Ou bien : n'évacuait pas l'urine des voies urinaires. urine son urine Ou bien : n'évacuait pas l'urine des voies urinaires. , et l'autre (allait) colporter des médisances. S'étant fait apporter une branche de palmier, le Prophète la rompit en deux morceaux et planta chacun d'eux sur chacune des deux tombes. Et comme on lui disait : Ô Envoyé de Dieu, pourquoi as-tu fait cela ? Il répondit: Il se peut que leurs tourments soient allégés tant que ces branches ne seront pas desséchées- ou jusqu'à ce que ces branches soient desséchées. »