Hadith Numero 2053

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On rapporte que 'Ä'isha ( qu'Allâh l'agrée ) a dit

« 'Utba Ibn Abi Waqqâs avait fait à son frère Sa'd Ibn Abî Waqqãs la déclaration testamentaire suivante : Le fils de l'esclave de Zam'a est de moi , prends-le . L'année de la conquête de la Mecque , Sa'd Ibn Abi Waqqâs voulut prendre cet enfant en disant : C'est le fils de mon frère qui m'a recommandé de le prendre . Mais Mais 'Abd Ibn Zam'a Avant l'islam certains Arabes livraient leurs esclaves femmes à la prostitution . L'enfant né de ces prostituées demeurait esclave s'il n'était reconnu comme étant issu de rapports que le maître aurait eus avec son esclave , car dans ce dernier cas il était de condition libre . A la mort du maître ses héritiers avaient tout intérêt à soutenir que les enfants nés de ces prostituées devaient le jour à des étrangers . Quand , de son vivant , le maître n'avait ni désavoué , ni réclamé la paternité de l'enfant , ses héritiers avaient la faculté de reconnaître la paternité de leur hauteur à l'égard de cet enfant , mais cela ne leur était plus permis si le maître avait nié la paternité avant de mourir . Le point douteux dans ce hadith était , en réalité , de savoir si l'enfant était véritablement le fils de 'Utba , ou si les héritiers seuls le déclaraient tel dans le seul but de le rattacher à leur clan .  'Abd Mais 'Abd Ibn Zam'a Avant l'islam certains Arabes livraient leurs esclaves femmes à la prostitution . L'enfant né de ces prostituées demeurait esclave s'il n'était reconnu comme étant issu de rapports que le maître aurait eus avec son esclave , car dans ce dernier cas il était de condition libre . A la mort du maître ses héritiers avaient tout intérêt à soutenir que les enfants nés de ces prostituées devaient le jour à des étrangers . Quand , de son vivant , le maître n'avait ni désavoué , ni réclamé la paternité de l'enfant , ses héritiers avaient la faculté de reconnaître la paternité de leur hauteur à l'égard de cet enfant , mais cela ne leur était plus permis si le maître avait nié la paternité avant de mourir . Le point douteux dans ce hadith était , en réalité , de savoir si l'enfant était véritablement le fils de 'Utba , ou si les héritiers seuls le déclaraient tel dans le seul but de le rattacher à leur clan .  Ibn Mais 'Abd Ibn Zam'a Avant l'islam certains Arabes livraient leurs esclaves femmes à la prostitution . L'enfant né de ces prostituées demeurait esclave s'il n'était reconnu comme étant issu de rapports que le maître aurait eus avec son esclave , car dans ce dernier cas il était de condition libre . A la mort du maître ses héritiers avaient tout intérêt à soutenir que les enfants nés de ces prostituées devaient le jour à des étrangers . Quand , de son vivant , le maître n'avait ni désavoué , ni réclamé la paternité de l'enfant , ses héritiers avaient la faculté de reconnaître la paternité de leur hauteur à l'égard de cet enfant , mais cela ne leur était plus permis si le maître avait nié la paternité avant de mourir . Le point douteux dans ce hadith était , en réalité , de savoir si l'enfant était véritablement le fils de 'Utba , ou si les héritiers seuls le déclaraient tel dans le seul but de le rattacher à leur clan .  Zam'a Mais 'Abd Ibn Zam'a Avant l'islam certains Arabes livraient leurs esclaves femmes à la prostitution . L'enfant né de ces prostituées demeurait esclave s'il n'était reconnu comme étant issu de rapports que le maître aurait eus avec son esclave , car dans ce dernier cas il était de condition libre . A la mort du maître ses héritiers avaient tout intérêt à soutenir que les enfants nés de ces prostituées devaient le jour à des étrangers . Quand , de son vivant , le maître n'avait ni désavoué , ni réclamé la paternité de l'enfant , ses héritiers avaient la faculté de reconnaître la paternité de leur hauteur à l'égard de cet enfant , mais cela ne leur était plus permis si le maître avait nié la paternité avant de mourir . Le point douteux dans ce hadith était , en réalité , de savoir si l'enfant était véritablement le fils de 'Utba , ou si les héritiers seuls le déclaraient tel dans le seul but de le rattacher à leur clan .  protesta en disant : C'est mon frère , le fils de l'esclave de mon père ; il est né de ses œuvres œuvres Litt . : « Il est né sur son lit » . » Les deux contestants ayant porté leur litige devant l'Envoyé de Dieu (ﷺ) , Sad s'exprima en ces termes : O Envoyé de Dieu , c'est le fils de mon frère et mon frère m'a légué le droit de le prendre . - C'est mon frère , répliqua 'Abd Ibn Zam'a ; il est le fils de l'esclave de mon père et il est né de ses œuvres œuvres Litt . : « Il est né sur son lit » . . S'adressant alors à 'Abd Ibn Zam'a , le Prophète (ﷺ) lui dit : Cet enfant est à toi . Puis il ajouta : L'enfant appartient au (maître du) lit ; le fornicateur n'a droit à rien . Ensuite s'adressant à Sawda Bint Zam'a , sa femme , le Prophète (ﷺ) lui dit : Ô Sawda , ne te montre pas à visage découvert devant cet enfant . Il avait en effet remarqué que cet enfant ressemblait à 'Utba . Jusqu'à sa mort , l'enfant ne vit jamais Sawda . »