CHAPITRE 67 - Le cinquième est à prélever sur les trésors enfouis dans le sol .

- Mâlik et Ibn Ibn Idrîs On a dit qu'il s'agissait de l'imâm ash-Shâfi'î ; on a dit aussi qu'il s'agissait de 'Abd Allâh Ibn Idris al-Awdi al-Küfi .  Idrîs Ibn Idrîs On a dit qu'il s'agissait de l'imâm ash-Shâfi'î ; on a dit aussi qu'il s'agissait de 'Abd Allâh Ibn Idris al-Awdi al-Küfi .  ont dit : « Le rikâz , c'est-à-dire l'objet enfoui dans le sol avant l'islam , qu'il soit abondant ou non , paie le cinquième . Une mine ( ma'din ) n'est pas un rikâz . » - Le Prophète (ﷺ) a dit « Pour les mines , pas de responsabilité en cas d'accident ; pour les rikâz , impôt du cinquième . » - 'Umar Ibn 'Abd al-'Aziz prélevait cinq pour deux cents sur le produit des mines . - Al-Hasan ( al-Basri ) a dit : « Le rikâz trouvé en terre de conquête est soumis au cinquième ; celui trouvé en terre de capitulation ( litt . : en terre « pacifiée » ) doit payer l'aumône légale ( le dixième ) . Si vous trouvez un objet perdu en pays ennemi , faites-le savoir ; s'il appartient à un ennemi , il est passible du cinquième . - Certain auteur auteur a dit Il s'agirait de l'imâm Abû Hanifa .  a auteur a dit Il s'agirait de l'imâm Abû Hanifa .  dit auteur a dit Il s'agirait de l'imâm Abû Hanifa .  que la mine est un rikâz analogue à celui des temps antéislamiques , puisqu'on dit en parlant d'une mine , arkaza , pour exprimer qu'on en a extrait quelque chose . Comme on objectait à cette personne que l'on se sert de arkaza également pour dire de quelqu'un qu'il a reçu une chose en don , qu'il a fait un profit considérable ou qu'il a eu abondance de fruits , il détruisit la portée de ces paroles en disant : « Il n'y a aucun mal à dissimuler ( l'exploitation d'une mine ) et à ne pas payer le cinquième . »

« Le propriétaire d'un animal , celui d'un puits , celui d'une mine , ne sont pas responsables des accidents . Le rikâz doit payer le cinquième . »