Abû Murra,
affranchi d'Umm Hâni', fille d'Abû Talib raconte avoir entendu Umm Hâni' prononcer les paroles suivantes : « L'année de la prise de la Mecque Mecque , j'allai trouver l'Envoyé de Dieu . Il était en train de se laver et Fâtima le dissimulait (aux regards). - Qui est cette femme ? demanda-t-il. - C'est moi, Umm Hâni', répondis-je. »
Maymũna a dit
«Un jour je cachai aux regards le Prophète pendant qu'il procédait à la grande ablution consécutive à l'état d'impureté majeure. Il se lava les mains, puis, de la main droite, il se versa de l'eau sur la main gauche et se lava les parties naturelles et tout ce qui avait été souillé chez lui. Ensuite il frotta sa main contre le mur ou sur le sol. Après cela, il fit l'ablution ordinaire de la prière, sans toutefois laver ses pieds. Enfin il se répandit de l'eau sur tout le corps et, changeant de place, il se lava les pieds. » In fine, indication d'un autre isnâd suivant lequel il est fait mention du rideau.