'Abd Allâh rapporte d'après son père 'Umar
« L'Envoyé de Dieu passant auprès d'un Ansâr qui sermonnait son frère à proposde sa réserve, lui dit: « Laisse-le tranquille; la réserve fait partie de de la foi Le sens du mot haya', traduit par « réserve », est défini tantôt : « un mélange de crainte et de pudeur » (Ibn Hajar, t. 1, p. 70) ; tantôt: « une altération ou défaillance qu'éprouve l'homme en présence d'une action dont il pourrait craindre d'être blâmé » (al-Ayni, t. 1, p. 206) ; c'est en quelque sorte la « timidité ». Elle a pour effet d'arrêter l'homme au moment où il veut exécuter une action coupable et peut, dans cette circonstance toute spéciale, être considérée comme une des branches de la foi (cf. Al-Qastalâni, t. 1, p. 107). la de la foi Le sens du mot haya', traduit par « réserve », est défini tantôt : « un mélange de crainte et de pudeur » (Ibn Hajar, t. 1, p. 70) ; tantôt: « une altération ou défaillance qu'éprouve l'homme en présence d'une action dont il pourrait craindre d'être blâmé » (al-Ayni, t. 1, p. 206) ; c'est en quelque sorte la « timidité ». Elle a pour effet d'arrêter l'homme au moment où il veut exécuter une action coupable et peut, dans cette circonstance toute spéciale, être considérée comme une des branches de la foi (cf. Al-Qastalâni, t. 1, p. 107). foi de la foi Le sens du mot haya', traduit par « réserve », est défini tantôt : « un mélange de crainte et de pudeur » (Ibn Hajar, t. 1, p. 70) ; tantôt: « une altération ou défaillance qu'éprouve l'homme en présence d'une action dont il pourrait craindre d'être blâmé » (al-Ayni, t. 1, p. 206) ; c'est en quelque sorte la « timidité ». Elle a pour effet d'arrêter l'homme au moment où il veut exécuter une action coupable et peut, dans cette circonstance toute spéciale, être considérée comme une des branches de la foi (cf. Al-Qastalâni, t. 1, p. 107). !»