CHAPITRE 37 - De la récitation du Coran et d'autres actes (religieux) à la suite d'une impureté légale (hadath).
- Mansûr rapporte d'après Ibrâhîm (Ibn Yazid an-Nakha'i) qu'il n'y a aucun inconvénient à réciter le Coran au bain, ni à y rédiger une une lettre lettre une lettre sans faire d'ablution mineure. Hammâd a dit d'après Ibrâhîm: « Quand ceux qui sont au bain portent un pagne, saluez-les; sinon ne les saluez pas. »
Kurayb, le client d'Ibn 'Abbãs, rapporte que
'Abd Allâh Ibn'Abbãs, lui racontant qu'il avait passé la nuit chez sa tante maternelle, Maymûna, femme du Prophète , s'exprima ainsi : « Je m'étendis en travers du du coussin coussin du coussin , tandis que l'Envoyé de Dieu et sa femme prenaient place dans le sens de la longueur. L'Envoyé de Dieu s'endormit jusqu'au milieu de la nuit. Un peu avant ou un peu après minuit il se réveilla, se mit sur son séant en se frottant, pour s'éveiller, le visage avec sa main. Ensuite il récita les dix versets qui terminent la sourate intitulée: La Famille de 'Imrân; puis il alla prendre une outre suspendue là, fit ses petites ablutions de la manière la plus complète et se mit à prier.« A ce moment, ajoute Ibn 'Abbâs, je me levai à mon tour, et, après avoir fait exactement ce qu'avait fait le Prophète , j'allai me placer debout à son côté. Il posa alors sa main droite sur ma tête, prit mon oreille droite et la roula entre ses ses doigts doigts ses doigts . Après cela il fit à six reprises différentes deux cycles de prière, puis un cycle impair et se recoucha jusqu'au moment où le muezzin arriva. Se levant aussitôt, il fit deux cycles de prière légers et partit pour aller faire la prière du matin. »